Réseaux de chaleur

Parce qu’ils s’appuient majoritairement sur la géothermie ou la biomasse, les réseaux de chaleur constituent une source d’énergie durable pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, contribuant ainsi à la transition écologique des territoires. À la clé pour les usagers : fiabilité de l’approvisionnement, maîtrise des factures énergétiques et confort thermique tout au long de l’année.

Un réseau de chaleur est un système de chauffage à l’échelle d’un quartier, d’une ville ou d’un territoire. Il alimente tout type de bâtiments : logements, bureaux, écoles et bâtiments publics. La chaleur est générée en priorité à partir d’énergie locale et renouvelable telles que la géothermie ou la biomasse. 

Le réseau primaire transporte la chaleur de la centrale de production jusqu’aux sous-stations du quartier, via des canalisations souterraines. S’appuyant sur des échangeurs, ce réseau distribue ensuite la chaleur et le froid dans les circuits secondaires qui sont propres à chaque bâtiment. Ces circuits alimentent ensuite directement les bâtiments. 

En France, la création de réseaux de chaleur et l’extension de réseaux existants est soutenue par les pouvoirs publics via l’Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME) qui y consacre des fonds dédiés. Une aide utile aux acteurs publics sur laquelle Eiffage s’appuie pour monter les financements de ce type de projets.  

LaVallée à Châtenay-Malabry : exploiter la chaleur issue de la géothermie profonde

Eiffage Reseau de chaleur

Eiffage, à travers la société Flowergy Châtenay-Malabry, finance, construit et exploite le réseau de chaleur urbain de l’écoquartier LaVallée à Châtenay-Malabry, près de Paris (France). L’alimentation du réseau est générée à partir d’un mix énergétique composé à plus de 50 % d’énergie renouvelable et locale issue de la géothermie profonde. 

Chiffre-clé LaVallée
  • + de 200 000 m²

    raccordés au réseau

  • 2 200 logements

    alimentés en chaleur et eau chaude sanitaire

  • 1 900 ml

    longueur du réseau de distribution de chaud, de froid

  • + de 13MW 

    de puissance installée pour les besoins de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de froid dans le quartier

  • 45 sous-stations

    d’échange de chaleur et de froid

Seine Ouest à Asnières-sur-Seine : plus de 1 600 logements et 25 000 m² de bureaux raccordés au réseau de chaleur et de froid

Eiffage Reseau de Chaleur

Dans le cadre de la construction du futur quartier de Seine Ouest près de Paris, Eiffage et Egis réalisent, à travers la société Flowergy Asnières, un réseau de chaleur et de froid urbain en géothermie superficielle afin d’alimenter en chauffage, en eau chaude sanitaire et en froid ce nouvel éco-quartier. L’alimentation du réseau est générée à partir d’un mix énergétique composé à plus de 50 % d’énergies renouvelable et locale issue de la géothermie superficielle. 

Chiffres clés Seine Ouest
  • 100 000 m² 

    raccordés au réseau

  • 1 600 logements

    alimentés en chaleur et eau chaude sanitaire

  • 2 310 ml

    longueur du réseau de distribution de chaud et de froid

  • + de 7MW

    de puissance installée pour les besoins de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de froid dans le quartier

  • 30 sous-stations

    d’échange de chaleur et de froid

Grand Canal à Clamart : une chaufferie biomasse pour alimenter le réseau urbain

Eiffage Reseau de chaleur

Dans le cadre de la construction du futur quartier Grand Canal à Clamart près de Paris (France), Eiffage et la start-up Agronergy mettront en place une chaufferie biomasse pour le réseau de chaleur urbain à travers la société Flowergy Clamart. L’alimentation du réseau est générée à partir d’un mix énergétique composé à plus de 50 % d’énergie renouvelable issue de la biomasse. 

Chiffres clés Grand Canal
  • 83 000 m²

    raccordés au réseau

  • 1 300 logements

    alimentés en chaleur et eau chaude sanitaire

  • 850 ml

    longueur du réseau de distribution de chaud

  • + de 4MW 

    de puissance installée pour les besoins de chauffage et d’eau chaude sanitaire dans le quartier

  • 14 sous-stations

    d’échange de chaleur